23 mai 2007

Jamie T (Mister T était déjà pris...)

Harry : Voila un jeune rosbiff qui ne manque pas de gouaille. Foutu comme un coton tige qui n'aurait jamais vu le soleil, ce blanc bec a un phrasé à la "the streets" mais avec une musique beaucoup plus bluesy (donc bcp plus intéressante...). Je me suis intéressé à ce jeune londonien car j'ai entendu une vague comparaison avec sir Bob Dylan. Ni une ni deux, piqué d'interêt, je suis monté sur ma mule pour y voir de plus pret.

Bon ça n'a franchement pas grand chose à voir avec l'auteur de "the freewheelin'" (à moins que le fait de travailler ses paroles fasse immanquablement référence à lui et dans ce cas on n'est pas sortis de l'auberge des année 60), mais le gamin vaut le coup d'oreille. Je ne sais pas trop à quoi ça tient, surement pas grand chose. Musicalement ça casse pas trois pattes à un canard, mais associer à cette façon de balancer ses textes, il parvient à une combinaison des plus réjouissantes (un peu comme le phrasé des arctic monkeys qui permet de les différencier des centaines d'autres qui se bousculent au portillon).

Je vous mets en écoute sa première chanson à être passée sur les ondes "if you got the money".
Ouvrez vos écoutilles, vous m'en direz des nouvelles !

2 commentaires:

Anonyme a dit…

ça balance pas mal, j'aime

Athera

Anonyme a dit…

ça balance pas mal, j'aime ...

Athera